L'histoire sans fin

Le corbeau regardait avidement ce minuscule être qui ne ressemblait aucunement à celui qu'il épiait de son perchoir préféré quelques heures auparavant. Son bec s'ouvrit avec avidité, anticipant un massacre délectable. L'elfe n'avait aucune arme à portée et s'apprêtait à battre courageusement la bête hideuse. Il s'avança prudemment vers l'intrus, plissant légèrement les yeux pour évaluer la distance qui le séparait de la détestable créature. Ses doigts se crispèrent comme de solides serres, et il chargea en poussant ses cris guerriers qui résonnèrent jusque Tenebra. Un jour, Yorek avait réussi à fracasser violemment la tête d'un énorme et à déchirer sa lèvre supérieure d'un coup de coude. Il balança brusquement un coup de poing dans cette direction puis sauta sur l'horrible nez de ce gros monstre qui bavait un répugnant mélange de morve et de sucs gastriques.
Le coup brisa le bec du corbeau dans l'angle net du sens du large interstice entre l'œil et la
narine gauche. L'oiseau chancela sur un ergot aux pieds du petit elfe et se mit à s'égosiller sans retenue jusqu'à ce que le sol tremble sous ses chausses trouées : le tonnerre claqua, déchirant la sphère de ténèbres entourant l'immense lac qui se troubla. Étonnamment, l'eau demeura lisse pendant que l'air terrassait les branches torturées des saules ondulant dans l'ouragan qui sévissait alentour. Subitement, la chose rugit comme si la foudre allait fendre son cœur en millions de copeaux tranchants et chargea comme un boulet de canon vers le jeune elfe qui n'osa plus faire un geste de peur de provoquer innocemment une catastrophe irréparable. Alors, dans un élan, il pulvérisa complètement le manche tordu du couteau de cristal qui vola en éclats disséminant des bris de quartz partout autour du lac gelé qui frémit jusqu'à l'horizon. Alors, dans la pénombre, il se recroquevilla sur lui-même et se passa une main sur le ventre, tâtant sa ceinture pour vérifier que le couteau coulissait toujours dans son fourreau. Alors, il le dégaina prestement et discrètement s'approcha du monstre et sauta sur lui d'un gracieux mouvement. D'un rapide coup, il égorgea sans un bruit

Le corbeau regardait avidement ce minuscule être qui ne ressemblait aucunement à celui qu'il épiait de son perchoir préféré quelques heures auparavant. Son bec s'ouvrit avec avidité, anticipant un massacre délectable. L'elfe n'avait aucune arme à portée et s'apprêtait à battre courageusement la bête hideuse. Il s'avança prudemment vers l'intrus, plissant légèrement les yeux pour évaluer la distance qui le séparait de la détestable créature. Ses doigts se crispèrent comme de solides serres, et il chargea en poussant ses cris guerriers qui résonnèrent jusque Tenebra. Un jour, Yorek avait réussi à fracasser violemment la tête d'un énorme et à déchirer sa lèvre supérieure d'un coup de coude. Il balança brusquement un coup de poing dans cette direction puis sauta sur l'horrible nez de ce gros monstre qui bavait un répugnant mélange de morve et de sucs gastriques.
Le coup brisa le bec du corbeau dans l'angle net du sens du large interstice entre l'œil et la
narine gauche. L'oiseau chancela sur un ergot aux pieds du petit elfe et se mit à s'égosiller sans retenue jusqu'à ce que le sol tremble sous ses chausses trouées : le tonnerre claqua, déchirant la sphère de ténèbres entourant l'immense lac qui se troubla. Étonnamment, l'eau demeura lisse pendant que l'air terrassait les branches torturées des saules ondulant dans l'ouragan qui sévissait alentour. Subitement, la chose rugit comme si la foudre allait fendre son cœur en millions de copeaux tranchants et chargea comme un boulet de canon vers le jeune elfe qui n'osa plus faire un geste de peur de provoquer innocemment une catastrophe irréparable. Alors, dans un élan, il pulvérisa complètement le manche tordu du couteau de cristal qui vola en éclats disséminant des bris de quartz partout autour du lac gelé qui frémit jusqu'à l'horizon. Alors, dans la pénombre, il se recroquevilla sur lui-même et se passa une main sur le ventre, tâtant sa ceinture pour vérifier que le couteau coulissait toujours dans son fourreau. Alors, il le dégaina prestement et discrètement s'approcha du monstre et sauta sur lui d'un gracieux mouvement. D'un rapide coup, il égorgea sans un bruit, répandant

Le corbeau regardait avidement ce minuscule être qui ne ressemblait aucunement à celui qu'il épiait de son perchoir préféré quelques heures auparavant. Son bec s'ouvrit avec avidité, anticipant un massacre délectable. L'elfe n'avait aucune arme à portée et s'apprêtait à battre courageusement la bête hideuse. Il s'avança prudemment vers l'intrus, plissant légèrement les yeux pour évaluer la distance qui le séparait de la détestable créature. Ses doigts se crispèrent comme de solides serres, et il chargea en poussant ses cris guerriers qui résonnèrent jusque Tenebra. Un jour, Yorek avait réussi à fracasser violemment la tête d'un énorme et à déchirer sa lèvre supérieure d'un coup de coude. Il balança brusquement un coup de poing dans cette direction puis sauta sur l'horrible nez de ce gros monstre qui bavait un répugnant mélange de morve et de sucs gastriques.
Le coup brisa le bec du corbeau dans l'angle net du sens du large interstice entre l'œil et la
narine gauche. L'oiseau chancela sur un ergot aux pieds du petit elfe et se mit à s'égosiller sans retenue jusqu'à ce que le sol tremble sous ses chausses trouées : le tonnerre claqua, déchirant la sphère de ténèbres entourant l'immense lac qui se troubla. Étonnamment, l'eau demeura lisse pendant que l'air terrassait les branches torturées des saules ondulant dans l'ouragan qui sévissait alentour. Subitement, la chose rugit comme si la foudre allait fendre son cœur en millions de copeaux tranchants et chargea comme un boulet de canon vers le jeune elfe qui n'osa plus faire un geste de peur de provoquer innocemment une catastrophe irréparable. Alors, dans un élan, il pulvérisa complètement le manche tordu du couteau de cristal qui vola en éclats disséminant des bris de quartz partout autour du lac gelé qui frémit jusqu'à l'horizon. Alors, dans la pénombre, il se recroquevilla sur lui-même et se passa une main sur le ventre, tâtant sa ceinture pour vérifier que le couteau coulissait toujours dans son fourreau. Alors, il le dégaina prestement et discrètement s'approcha du monstre et sauta sur lui d'un gracieux mouvement. D'un rapide coup, il égorgea sans un bruit, répandant une

Le corbeau regardait avidement ce minuscule être qui ne ressemblait aucunement à celui qu'il épiait de son perchoir préféré quelques heures auparavant. Son bec s'ouvrit avec avidité, anticipant un massacre délectable. L'elfe n'avait aucune arme à portée et s'apprêtait à battre courageusement la bête hideuse. Il s'avança prudemment vers l'intrus, plissant légèrement les yeux pour évaluer la distance qui le séparait de la détestable créature. Ses doigts se crispèrent comme de solides serres, et il chargea en poussant ses cris guerriers qui résonnèrent jusque Tenebra. Un jour, Yorek avait réussi à fracasser violemment la tête d'un énorme et à déchirer sa lèvre supérieure d'un coup de coude. Il balança brusquement un coup de poing dans cette direction puis sauta sur l'horrible nez de ce gros monstre qui bavait un répugnant mélange de morve et de sucs gastriques.
Le coup brisa le bec du corbeau dans l'angle net du sens du large interstice entre l'œil et la
narine gauche. L'oiseau chancela sur un ergot aux pieds du petit elfe et se mit à s'égosiller sans retenue jusqu'à ce que le sol tremble sous ses chausses trouées : le tonnerre claqua, déchirant la sphère de ténèbres entourant l'immense lac qui se troubla. Étonnamment, l'eau demeura lisse pendant que l'air terrassait les branches torturées des saules ondulant dans l'ouragan qui sévissait alentour. Subitement, la chose rugit comme si la foudre allait fendre son cœur en millions de copeaux tranchants et chargea comme un boulet de canon vers le jeune elfe qui n'osa plus faire un geste de peur de provoquer innocemment une catastrophe irréparable. Alors, dans un élan, il pulvérisa complètement le manche tordu du couteau de cristal qui vola en éclats disséminant des bris de quartz partout autour du lac gelé qui frémit jusqu'à l'horizon. Alors, dans la pénombre, il se recroquevilla sur lui-même et se passa une main sur le ventre, tâtant sa ceinture pour vérifier que le couteau coulissait toujours dans son fourreau. Alors, il le dégaina prestement et discrètement s'approcha du monstre et sauta sur lui d'un gracieux mouvement. D'un rapide coup, il égorgea sans un bruit, répandant une pluie

Le corbeau regardait avidement ce minuscule être qui ne ressemblait aucunement à celui qu'il épiait de son perchoir préféré quelques heures auparavant. Son bec s'ouvrit avec avidité, anticipant un massacre délectable. L'elfe n'avait aucune arme à portée et s'apprêtait à battre courageusement la bête hideuse. Il s'avança prudemment vers l'intrus, plissant légèrement les yeux pour évaluer la distance qui le séparait de la détestable créature. Ses doigts se crispèrent comme de solides serres, et il chargea en poussant ses cris guerriers qui résonnèrent jusque Tenebra. Un jour, Yorek avait réussi à fracasser violemment la tête d'un énorme et à déchirer sa lèvre supérieure d'un coup de coude. Il balança brusquement un coup de poing dans cette direction puis sauta sur l'horrible nez de ce gros monstre qui bavait un répugnant mélange de morve et de sucs gastriques.
Le coup brisa le bec du corbeau dans l'angle net du sens du large interstice entre l'œil et la
narine gauche. L'oiseau chancela sur un ergot aux pieds du petit elfe et se mit à s'égosiller sans retenue jusqu'à ce que le sol tremble sous ses chausses trouées : le tonnerre claqua, déchirant la sphère de ténèbres entourant l'immense lac qui se troubla. Étonnamment, l'eau demeura lisse pendant que l'air terrassait les branches torturées des saules ondulant dans l'ouragan qui sévissait alentour. Subitement, la chose rugit comme si la foudre allait fendre son cœur en millions de copeaux tranchants et chargea comme un boulet de canon vers le jeune elfe qui n'osa plus faire un geste de peur de provoquer innocemment une catastrophe irréparable. Alors, dans un élan, il pulvérisa complètement le manche tordu du couteau de cristal qui vola en éclats disséminant des bris de quartz partout autour du lac gelé qui frémit jusqu'à l'horizon. Alors, dans la pénombre, il se recroquevilla sur lui-même et se passa une main sur le ventre, tâtant sa ceinture pour vérifier que le couteau coulissait toujours dans son fourreau. Alors, il le dégaina prestement et discrètement s'approcha du monstre et sauta sur lui d'un gracieux mouvement. D'un rapide coup, il égorgea sans un bruit, répandant une pluie de

Le corbeau regardait avidement ce minuscule être qui ne ressemblait aucunement à celui qu'il épiait de son perchoir préféré quelques heures auparavant. Son bec s'ouvrit avec avidité, anticipant un massacre délectable. L'elfe n'avait aucune arme à portée et s'apprêtait à battre courageusement la bête hideuse. Il s'avança prudemment vers l'intrus, plissant légèrement les yeux pour évaluer la distance qui le séparait de la détestable créature. Ses doigts se crispèrent comme de solides serres, et il chargea en poussant ses cris guerriers qui résonnèrent jusque Tenebra. Un jour, Yorek avait réussi à fracasser violemment la tête d'un énorme et à déchirer sa lèvre supérieure d'un coup de coude. Il balança brusquement un coup de poing dans cette direction puis sauta sur l'horrible nez de ce gros monstre qui bavait un répugnant mélange de morve et de sucs gastriques.
Le coup brisa le bec du corbeau dans l'angle net du sens du large interstice entre l'œil et la
narine gauche. L'oiseau chancela sur un ergot aux pieds du petit elfe et se mit à s'égosiller sans retenue jusqu'à ce que le sol tremble sous ses chausses trouées : le tonnerre claqua, déchirant la sphère de ténèbres entourant l'immense lac qui se troubla. Étonnamment, l'eau demeura lisse pendant que l'air terrassait les branches torturées des saules ondulant dans l'ouragan qui sévissait alentour. Subitement, la chose rugit comme si la foudre allait fendre son cœur en millions de copeaux tranchants et chargea comme un boulet de canon vers le jeune elfe qui n'osa plus faire un geste de peur de provoquer innocemment une catastrophe irréparable. Alors, dans un élan, il pulvérisa complètement le manche tordu du couteau de cristal qui vola en éclats disséminant des bris de quartz partout autour du lac gelé qui frémit jusqu'à l'horizon. Alors, dans la pénombre, il se recroquevilla sur lui-même et se passa une main sur le ventre, tâtant sa ceinture pour vérifier que le couteau coulissait toujours dans son fourreau. Alors, il le dégaina prestement et discrètement s'approcha du monstre et sauta sur lui d'un gracieux mouvement. D'un rapide coup, il égorgea sans un bruit, répandant une pluie de rubis

Le corbeau regardait avidement ce minuscule être qui ne ressemblait aucunement à celui qu'il épiait de son perchoir préféré quelques heures auparavant. Son bec s'ouvrit avec avidité, anticipant un massacre délectable. L'elfe n'avait aucune arme à portée et s'apprêtait à battre courageusement la bête hideuse. Il s'avança prudemment vers l'intrus, plissant légèrement les yeux pour évaluer la distance qui le séparait de la détestable créature. Ses doigts se crispèrent comme de solides serres, et il chargea en poussant ses cris guerriers qui résonnèrent jusque Tenebra. Un jour, Yorek avait réussi à fracasser violemment la tête d'un énorme et à déchirer sa lèvre supérieure d'un coup de coude. Il balança brusquement un coup de poing dans cette direction puis sauta sur l'horrible nez de ce gros monstre qui bavait un répugnant mélange de morve et de sucs gastriques.
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narine gauche. L'oiseau chancela sur un ergot aux pieds du petit elfe et se mit à s'égosiller sans retenue jusqu'à ce que le sol tremble sous ses chausses trouées : le tonnerre claqua, déchirant la sphère de ténèbres entourant l'immense lac qui se troubla. Étonnamment, l'eau demeura lisse pendant que l'air terrassait les branches torturées des saules ondulant dans l'ouragan qui sévissait alentour. Subitement, la chose rugit comme si la foudre allait fendre son cœur en millions de copeaux tranchants et chargea comme un boulet de canon vers le jeune elfe qui n'osa plus faire un geste de peur de provoquer innocemment une catastrophe irréparable. Alors, dans un élan, il pulvérisa complètement le manche tordu du couteau de cristal qui vola en éclats disséminant des bris de quartz partout autour du lac gelé qui frémit jusqu'à l'horizon. Alors, dans la pénombre, il se recroquevilla sur lui-même et se passa une main sur le ventre, tâtant sa ceinture pour vérifier que le couteau coulissait toujours dans son fourreau. Alors, il le dégaina prestement et discrètement s'approcha du monstre et sauta sur lui d'un gracieux mouvement. D'un rapide coup, il égorgea sans un bruit, répandant une pluie de rubis tout

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Le coup brisa le bec du corbeau dans l'angle net du sens du large interstice entre l'œil et la
narine gauche. L'oiseau chancela sur un ergot aux pieds du petit elfe et se mit à s'égosiller sans retenue jusqu'à ce que le sol tremble sous ses chausses trouées : le tonnerre claqua, déchirant la sphère de ténèbres entourant l'immense lac qui se troubla. Étonnamment, l'eau demeura lisse pendant que l'air terrassait les branches torturées des saules ondulant dans l'ouragan qui sévissait alentour. Subitement, la chose rugit comme si la foudre allait fendre son cœur en millions de copeaux tranchants et chargea comme un boulet de canon vers le jeune elfe qui n'osa plus faire un geste de peur de provoquer innocemment une catastrophe irréparable. Alors, dans un élan, il pulvérisa complètement le manche tordu du couteau de cristal qui vola en éclats disséminant des bris de quartz partout autour du lac gelé qui frémit jusqu'à l'horizon. Alors, dans la pénombre, il se recroquevilla sur lui-même et se passa une main sur le ventre, tâtant sa ceinture pour vérifier que le couteau coulissait toujours dans son fourreau. Alors, il le dégaina prestement et discrètement s'approcha du monstre et sauta sur lui d'un gracieux mouvement. D'un rapide coup, il égorgea sans un bruit, répandant une pluie de rubis tout autour

Le corbeau regardait avidement ce minuscule être qui ne ressemblait aucunement à celui qu'il épiait de son perchoir préféré quelques heures auparavant. Son bec s'ouvrit avec avidité, anticipant un massacre délectable. L'elfe n'avait aucune arme à portée et s'apprêtait à battre courageusement la bête hideuse. Il s'avança prudemment vers l'intrus, plissant légèrement les yeux pour évaluer la distance qui le séparait de la détestable créature. Ses doigts se crispèrent comme de solides serres, et il chargea en poussant ses cris guerriers qui résonnèrent jusque Tenebra. Un jour, Yorek avait réussi à fracasser violemment la tête d'un énorme et à déchirer sa lèvre supérieure d'un coup de coude. Il balança brusquement un coup de poing dans cette direction puis sauta sur l'horrible nez de ce gros monstre qui bavait un répugnant mélange de morve et de sucs gastriques.
Le coup brisa le bec du corbeau dans l'angle net du sens du large interstice entre l'œil et la
narine gauche. L'oiseau chancela sur un ergot aux pieds du petit elfe et se mit à s'égosiller sans retenue jusqu'à ce que le sol tremble sous ses chausses trouées : le tonnerre claqua, déchirant la sphère de ténèbres entourant l'immense lac qui se troubla. Étonnamment, l'eau demeura lisse pendant que l'air terrassait les branches torturées des saules ondulant dans l'ouragan qui sévissait alentour. Subitement, la chose rugit comme si la foudre allait fendre son cœur en millions de copeaux tranchants et chargea comme un boulet de canon vers le jeune elfe qui n'osa plus faire un geste de peur de provoquer innocemment une catastrophe irréparable. Alors, dans un élan, il pulvérisa complètement le manche tordu du couteau de cristal qui vola en éclats disséminant des bris de quartz partout autour du lac gelé qui frémit jusqu'à l'horizon. Alors, dans la pénombre, il se recroquevilla sur lui-même et se passa une main sur le ventre, tâtant sa ceinture pour vérifier que le couteau coulissait toujours dans son fourreau. Alors, il le dégaina prestement et discrètement s'approcha du monstre et sauta sur lui d'un gracieux mouvement. D'un rapide coup, il égorgea sans un bruit, répandant une pluie de rubis tout autour d'eux

Le corbeau regardait avidement ce minuscule être qui ne ressemblait aucunement à celui qu'il épiait de son perchoir préféré quelques heures auparavant. Son bec s'ouvrit avec avidité, anticipant un massacre délectable. L'elfe n'avait aucune arme à portée et s'apprêtait à battre courageusement la bête hideuse. Il s'avança prudemment vers l'intrus, plissant légèrement les yeux pour évaluer la distance qui le séparait de la détestable créature. Ses doigts se crispèrent comme de solides serres, et il chargea en poussant ses cris guerriers qui résonnèrent jusque Tenebra. Un jour, Yorek avait réussi à fracasser violemment la tête d'un énorme et à déchirer sa lèvre supérieure d'un coup de coude. Il balança brusquement un coup de poing dans cette direction puis sauta sur l'horrible nez de ce gros monstre qui bavait un répugnant mélange de morve et de sucs gastriques.
Le coup brisa le bec du corbeau dans l'angle net du sens du large interstice entre l'œil et la
narine gauche. L'oiseau chancela sur un ergot aux pieds du petit elfe et se mit à s'égosiller sans retenue jusqu'à ce que le sol tremble sous ses chausses trouées : le tonnerre claqua, déchirant la sphère de ténèbres entourant l'immense lac qui se troubla. Étonnamment, l'eau demeura lisse pendant que l'air terrassait les branches torturées des saules ondulant dans l'ouragan qui sévissait alentour. Subitement, la chose rugit comme si la foudre allait fendre son cœur en millions de copeaux tranchants et chargea comme un boulet de canon vers le jeune elfe qui n'osa plus faire un geste de peur de provoquer innocemment une catastrophe irréparable. Alors, dans un élan, il pulvérisa complètement le manche tordu du couteau de cristal qui vola en éclats disséminant des bris de quartz partout autour du lac gelé qui frémit jusqu'à l'horizon. Alors, dans la pénombre, il se recroquevilla sur lui-même et se passa une main sur le ventre, tâtant sa ceinture pour vérifier que le couteau coulissait toujours dans son fourreau. Alors, il le dégaina prestement et discrètement s'approcha du monstre et sauta sur lui d'un gracieux mouvement. D'un rapide coup, il égorgea sans un bruit, répandant une pluie de rubis tout autour d'eux, l'horrible

Le corbeau regardait avidement ce minuscule être qui ne ressemblait aucunement à celui qu'il épiait de son perchoir préféré quelques heures auparavant. Son bec s'ouvrit avec avidité, anticipant un massacre délectable. L'elfe n'avait aucune arme à portée et s'apprêtait à battre courageusement la bête hideuse. Il s'avança prudemment vers l'intrus, plissant légèrement les yeux pour évaluer la distance qui le séparait de la détestable créature. Ses doigts se crispèrent comme de solides serres, et il chargea en poussant ses cris guerriers qui résonnèrent jusque Tenebra. Un jour, Yorek avait réussi à fracasser violemment la tête d'un énorme et à déchirer sa lèvre supérieure d'un coup de coude. Il balança brusquement un coup de poing dans cette direction puis sauta sur l'horrible nez de ce gros monstre qui bavait un répugnant mélange de morve et de sucs gastriques.
Le coup brisa le bec du corbeau dans l'angle net du sens du large interstice entre l'œil et la
narine gauche. L'oiseau chancela sur un ergot aux pieds du petit elfe et se mit à s'égosiller sans retenue jusqu'à ce que le sol tremble sous ses chausses trouées : le tonnerre claqua, déchirant la sphère de ténèbres entourant l'immense lac qui se troubla. Étonnamment, l'eau demeura lisse pendant que l'air terrassait les branches torturées des saules ondulant dans l'ouragan qui sévissait alentour. Subitement, la chose rugit comme si la foudre allait fendre son cœur en millions de copeaux tranchants et chargea comme un boulet de canon vers le jeune elfe qui n'osa plus faire un geste de peur de provoquer innocemment une catastrophe irréparable. Alors, dans un élan, il pulvérisa complètement le manche tordu du couteau de cristal qui vola en éclats disséminant des bris de quartz partout autour du lac gelé qui frémit jusqu'à l'horizon. Alors, dans la pénombre, il se recroquevilla sur lui-même et se passa une main sur le ventre, tâtant sa ceinture pour vérifier que le couteau coulissait toujours dans son fourreau. Alors, il le dégaina prestement et discrètement s'approcha du monstre et sauta sur lui d'un gracieux mouvement. D'un rapide coup, il égorgea sans un bruit, répandant une pluie de rubis tout autour d'eux, l'horrible bête

Le corbeau regardait avidement ce minuscule être qui ne ressemblait aucunement à celui qu'il épiait de son perchoir préféré quelques heures auparavant. Son bec s'ouvrit avec avidité, anticipant un massacre délectable. L'elfe n'avait aucune arme à portée et s'apprêtait à battre courageusement la bête hideuse. Il s'avança prudemment vers l'intrus, plissant légèrement les yeux pour évaluer la distance qui le séparait de la détestable créature. Ses doigts se crispèrent comme de solides serres, et il chargea en poussant ses cris guerriers qui résonnèrent jusque Tenebra. Un jour, Yorek avait réussi à fracasser violemment la tête d'un énorme et à déchirer sa lèvre supérieure d'un coup de coude. Il balança brusquement un coup de poing dans cette direction puis sauta sur l'horrible nez de ce gros monstre qui bavait un répugnant mélange de morve et de sucs gastriques.
Le coup brisa le bec du corbeau dans l'angle net du sens du large interstice entre l'œil et la
narine gauche. L'oiseau chancela sur un ergot aux pieds du petit elfe et se mit à s'égosiller sans retenue jusqu'à ce que le sol tremble sous ses chausses trouées : le tonnerre claqua, déchirant la sphère de ténèbres entourant l'immense lac qui se troubla. Étonnamment, l'eau demeura lisse pendant que l'air terrassait les branches torturées des saules ondulant dans l'ouragan qui sévissait alentour. Subitement, la chose rugit comme si la foudre allait fendre son cœur en millions de copeaux tranchants et chargea comme un boulet de canon vers le jeune elfe qui n'osa plus faire un geste de peur de provoquer innocemment une catastrophe irréparable. Alors, dans un élan, il pulvérisa complètement le manche tordu du couteau de cristal qui vola en éclats disséminant des bris de quartz partout autour du lac gelé qui frémit jusqu'à l'horizon. Alors, dans la pénombre, il se recroquevilla sur lui-même et se passa une main sur le ventre, tâtant sa ceinture pour vérifier que le couteau coulissait toujours dans son fourreau. Alors, il le dégaina prestement et discrètement s'approcha du monstre et sauta sur lui d'un gracieux mouvement. D'un rapide coup, il égorgea sans un bruit, répandant une pluie de rubis tout autour d'eux, l'horrible bête hurlante

Le corbeau regardait avidement ce minuscule être qui ne ressemblait aucunement à celui qu'il épiait de son perchoir préféré quelques heures auparavant. Son bec s'ouvrit avec avidité, anticipant un massacre délectable. L'elfe n'avait aucune arme à portée et s'apprêtait à battre courageusement la bête hideuse. Il s'avança prudemment vers l'intrus, plissant légèrement les yeux pour évaluer la distance qui le séparait de la détestable créature. Ses doigts se crispèrent comme de solides serres, et il chargea en poussant ses cris guerriers qui résonnèrent jusque Tenebra. Un jour, Yorek avait réussi à fracasser violemment la tête d'un énorme et à déchirer sa lèvre supérieure d'un coup de coude. Il balança brusquement un coup de poing dans cette direction puis sauta sur l'horrible nez de ce gros monstre qui bavait un répugnant mélange de morve et de sucs gastriques.
Le coup brisa le bec du corbeau dans l'angle net du sens du large interstice entre l'œil et la
narine gauche. L'oiseau chancela sur un ergot aux pieds du petit elfe et se mit à s'égosiller sans retenue jusqu'à ce que le sol tremble sous ses chausses trouées : le tonnerre claqua, déchirant la sphère de ténèbres entourant l'immense lac qui se troubla. Étonnamment, l'eau demeura lisse pendant que l'air terrassait les branches torturées des saules ondulant dans l'ouragan qui sévissait alentour. Subitement, la chose rugit comme si la foudre allait fendre son cœur en millions de copeaux tranchants et chargea comme un boulet de canon vers le jeune elfe qui n'osa plus faire un geste de peur de provoquer innocemment une catastrophe irréparable. Alors, dans un élan, il pulvérisa complètement le manche tordu du couteau de cristal qui vola en éclats disséminant des bris de quartz partout autour du lac gelé qui frémit jusqu'à l'horizon. Alors, dans la pénombre, il se recroquevilla sur lui-même et se passa une main sur le ventre, tâtant sa ceinture pour vérifier que le couteau coulissait toujours dans son fourreau. Alors, il le dégaina prestement et discrètement s'approcha du monstre et sauta sur lui d'un gracieux mouvement. D'un rapide coup, il égorgea sans un bruit, répandant une pluie de rubis tout autour d'eux, l'horrible bête hurlante convulsa

Le corbeau regardait avidement ce minuscule être qui ne ressemblait aucunement à celui qu'il épiait de son perchoir préféré quelques heures auparavant. Son bec s'ouvrit avec avidité, anticipant un massacre délectable. L'elfe n'avait aucune arme à portée et s'apprêtait à battre courageusement la bête hideuse. Il s'avança prudemment vers l'intrus, plissant légèrement les yeux pour évaluer la distance qui le séparait de la détestable créature. Ses doigts se crispèrent comme de solides serres, et il chargea en poussant ses cris guerriers qui résonnèrent jusque Tenebra. Un jour, Yorek avait réussi à fracasser violemment la tête d'un énorme et à déchirer sa lèvre supérieure d'un coup de coude. Il balança brusquement un coup de poing dans cette direction puis sauta sur l'horrible nez de ce gros monstre qui bavait un répugnant mélange de morve et de sucs gastriques.
Le coup brisa le bec du corbeau dans l'angle net du sens du large interstice entre l'œil et la
narine gauche. L'oiseau chancela sur un ergot aux pieds du petit elfe et se mit à s'égosiller sans retenue jusqu'à ce que le sol tremble sous ses chausses trouées : le tonnerre claqua, déchirant la sphère de ténèbres entourant l'immense lac qui se troubla. Étonnamment, l'eau demeura lisse pendant que l'air terrassait les branches torturées des saules ondulant dans l'ouragan qui sévissait alentour. Subitement, la chose rugit comme si la foudre allait fendre son cœur en millions de copeaux tranchants et chargea comme un boulet de canon vers le jeune elfe qui n'osa plus faire un geste de peur de provoquer innocemment une catastrophe irréparable. Alors, dans un élan, il pulvérisa complètement le manche tordu du couteau de cristal qui vola en éclats disséminant des bris de quartz partout autour du lac gelé qui frémit jusqu'à l'horizon. Alors, dans la pénombre, il se recroquevilla sur lui-même et se passa une main sur le ventre, tâtant sa ceinture pour vérifier que le couteau coulissait toujours dans son fourreau. Alors, il le dégaina prestement et discrètement s'approcha du monstre et sauta sur lui d'un gracieux mouvement. D'un rapide coup, il égorgea sans un bruit, répandant une pluie de rubis tout autour d'eux, l'horrible bête hurlante convulsa, gargouillant

Le corbeau regardait avidement ce minuscule être qui ne ressemblait aucunement à celui qu'il épiait de son perchoir préféré quelques heures auparavant. Son bec s'ouvrit avec avidité, anticipant un massacre délectable. L'elfe n'avait aucune arme à portée et s'apprêtait à battre courageusement la bête hideuse. Il s'avança prudemment vers l'intrus, plissant légèrement les yeux pour évaluer la distance qui le séparait de la détestable créature. Ses doigts se crispèrent comme de solides serres, et il chargea en poussant ses cris guerriers qui résonnèrent jusque Tenebra. Un jour, Yorek avait réussi à fracasser violemment la tête d'un énorme et à déchirer sa lèvre supérieure d'un coup de coude. Il balança brusquement un coup de poing dans cette direction puis sauta sur l'horrible nez de ce gros monstre qui bavait un répugnant mélange de morve et de sucs gastriques.
Le coup brisa le bec du corbeau dans l'angle net du sens du large interstice entre l'œil et la
narine gauche. L'oiseau chancela sur un ergot aux pieds du petit elfe et se mit à s'égosiller sans retenue jusqu'à ce que le sol tremble sous ses chausses trouées : le tonnerre claqua, déchirant la sphère de ténèbres entourant l'immense lac qui se troubla. Étonnamment, l'eau demeura lisse pendant que l'air terrassait les branches torturées des saules ondulant dans l'ouragan qui sévissait alentour. Subitement, la chose rugit comme si la foudre allait fendre son cœur en millions de copeaux tranchants et chargea comme un boulet de canon vers le jeune elfe qui n'osa plus faire un geste de peur de provoquer innocemment une catastrophe irréparable. Alors, dans un élan, il pulvérisa complètement le manche tordu du couteau de cristal qui vola en éclats disséminant des bris de quartz partout autour du lac gelé qui frémit jusqu'à l'horizon. Alors, dans la pénombre, il se recroquevilla sur lui-même et se passa une main sur le ventre, tâtant sa ceinture pour vérifier que le couteau coulissait toujours dans son fourreau. Alors, il le dégaina prestement et discrètement s'approcha du monstre et sauta sur lui d'un gracieux mouvement. D'un rapide coup, il égorgea sans un bruit, répandant une pluie de rubis tout autour d'eux, l'horrible bête hurlante convulsa, gargouillant comme

Le corbeau regardait avidement ce minuscule être qui ne ressemblait aucunement à celui qu'il épiait de son perchoir préféré quelques heures auparavant. Son bec s'ouvrit avec avidité, anticipant un massacre délectable. L'elfe n'avait aucune arme à portée et s'apprêtait à battre courageusement la bête hideuse. Il s'avança prudemment vers l'intrus, plissant légèrement les yeux pour évaluer la distance qui le séparait de la détestable créature. Ses doigts se crispèrent comme de solides serres, et il chargea en poussant ses cris guerriers qui résonnèrent jusque Tenebra. Un jour, Yorek avait réussi à fracasser violemment la tête d'un énorme et à déchirer sa lèvre supérieure d'un coup de coude. Il balança brusquement un coup de poing dans cette direction puis sauta sur l'horrible nez de ce gros monstre qui bavait un répugnant mélange de morve et de sucs gastriques.
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narine gauche. L'oiseau chancela sur un ergot aux pieds du petit elfe et se mit à s'égosiller sans retenue jusqu'à ce que le sol tremble sous ses chausses trouées : le tonnerre claqua, déchirant la sphère de ténèbres entourant l'immense lac qui se troubla. Étonnamment, l'eau demeura lisse pendant que l'air terrassait les branches torturées des saules ondulant dans l'ouragan qui sévissait alentour. Subitement, la chose rugit comme si la foudre allait fendre son cœur en millions de copeaux tranchants et chargea comme un boulet de canon vers le jeune elfe qui n'osa plus faire un geste de peur de provoquer innocemment une catastrophe irréparable. Alors, dans un élan, il pulvérisa complètement le manche tordu du couteau de cristal qui vola en éclats disséminant des bris de quartz partout autour du lac gelé qui frémit jusqu'à l'horizon. Alors, dans la pénombre, il se recroquevilla sur lui-même et se passa une main sur le ventre, tâtant sa ceinture pour vérifier que le couteau coulissait toujours dans son fourreau. Alors, il le dégaina prestement et discrètement s'approcha du monstre et sauta sur lui d'un gracieux mouvement. D'un rapide coup, il égorgea sans un bruit, répandant une pluie de rubis tout autour d'eux, l'horrible bête hurlante convulsa, gargouillant comme si

Le corbeau regardait avidement ce minuscule être qui ne ressemblait aucunement à celui qu'il épiait de son perchoir préféré quelques heures auparavant. Son bec s'ouvrit avec avidité, anticipant un massacre délectable. L'elfe n'avait aucune arme à portée et s'apprêtait à battre courageusement la bête hideuse. Il s'avança prudemment vers l'intrus, plissant légèrement les yeux pour évaluer la distance qui le séparait de la détestable créature. Ses doigts se crispèrent comme de solides serres, et il chargea en poussant ses cris guerriers qui résonnèrent jusque Tenebra. Un jour, Yorek avait réussi à fracasser violemment la tête d'un énorme et à déchirer sa lèvre supérieure d'un coup de coude. Il balança brusquement un coup de poing dans cette direction puis sauta sur l'horrible nez de ce gros monstre qui bavait un répugnant mélange de morve et de sucs gastriques.
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Le corbeau regardait avidement ce minuscule être qui ne ressemblait aucunement à celui qu'il épiait de son perchoir préféré quelques heures auparavant. Son bec s'ouvrit avec avidité, anticipant un massacre délectable. L'elfe n'avait aucune arme à portée et s'apprêtait à battre courageusement la bête hideuse. Il s'avança prudemment vers l'intrus, plissant légèrement les yeux pour évaluer la distance qui le séparait de la détestable créature. Ses doigts se crispèrent comme de solides serres, et il chargea en poussant ses cris guerriers qui résonnèrent jusque Tenebra. Un jour, Yorek avait réussi à fracasser violemment la tête d'un énorme et à déchirer sa lèvre supérieure d'un coup de coude. Il balança brusquement un coup de poing dans cette direction puis sauta sur l'horrible nez de ce gros monstre qui bavait un répugnant mélange de morve et de sucs gastriques.
Le coup brisa le bec du corbeau dans l'angle net du sens du large interstice entre l'œil et la
narine gauche. L'oiseau chancela sur un ergot aux pieds du petit elfe et se mit à s'égosiller sans retenue jusqu'à ce que le sol tremble sous ses chausses trouées : le tonnerre claqua, déchirant la sphère de ténèbres entourant l'immense lac qui se troubla. Étonnamment, l'eau demeura lisse pendant que l'air terrassait les branches torturées des saules ondulant dans l'ouragan qui sévissait alentour. Subitement, la chose rugit comme si la foudre allait fendre son cœur en millions de copeaux tranchants et chargea comme un boulet de canon vers le jeune elfe qui n'osa plus faire un geste de peur de provoquer innocemment une catastrophe irréparable. Alors, dans un élan, il pulvérisa complètement le manche tordu du couteau de cristal qui vola en éclats disséminant des bris de quartz partout autour du lac gelé qui frémit jusqu'à l'horizon. Alors, dans la pénombre, il se recroquevilla sur lui-même et se passa une main sur le ventre, tâtant sa ceinture pour vérifier que le couteau coulissait toujours dans son fourreau. Alors, il le dégaina prestement et discrètement s'approcha du monstre et sauta sur lui d'un gracieux mouvement. D'un rapide coup, il égorgea sans un bruit, répandant une pluie de rubis tout autour d'eux, l'horrible bête hurlante convulsa, gargouillant comme si rien ne l'empêchait

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Le coup brisa le bec du corbeau dans l'angle net du sens du large interstice entre l'œil et la
narine gauche. L'oiseau chancela sur un ergot aux pieds du petit elfe et se mit à s'égosiller sans retenue jusqu'à ce que le sol tremble sous ses chausses trouées : le tonnerre claqua, déchirant la sphère de ténèbres entourant l'immense lac qui se troubla. Étonnamment, l'eau demeura lisse pendant que l'air terrassait les branches torturées des saules ondulant dans l'ouragan qui sévissait alentour. Subitement, la chose rugit comme si la foudre allait fendre son cœur en millions de copeaux tranchants et chargea comme un boulet de canon vers le jeune elfe qui n'osa plus faire un geste de peur de provoquer innocemment une catastrophe irréparable. Alors, dans un élan, il pulvérisa complètement le manche tordu du couteau de cristal qui vola en éclats disséminant des bris de quartz partout autour du lac gelé qui frémit jusqu'à l'horizon. Alors, dans la pénombre, il se recroquevilla sur lui-même et se passa une main sur le ventre, tâtant sa ceinture pour vérifier que le couteau coulissait toujours dans son fourreau. Alors, il le dégaina prestement et discrètement s'approcha du monstre et sauta sur lui d'un gracieux mouvement. D'un rapide coup, il égorgea sans un bruit, répandant une pluie de rubis tout autour d'eux, l'horrible bête hurlante convulsa, gargouillant comme si rien ne l'empêchait de râler. Le

Le corbeau regardait avidement ce minuscule être qui ne ressemblait aucunement à celui qu'il épiait de son perchoir préféré quelques heures auparavant. Son bec s'ouvrit avec avidité, anticipant un massacre délectable. L'elfe n'avait aucune arme à portée et s'apprêtait à battre courageusement la bête hideuse. Il s'avança prudemment vers l'intrus, plissant légèrement les yeux pour évaluer la distance qui le séparait de la détestable créature. Ses doigts se crispèrent comme de solides serres, et il chargea en poussant ses cris guerriers qui résonnèrent jusque Tenebra. Un jour, Yorek avait réussi à fracasser violemment la tête d'un énorme et à déchirer sa lèvre supérieure d'un coup de coude. Il balança brusquement un coup de poing dans cette direction puis sauta sur l'horrible nez de ce gros monstre qui bavait un répugnant mélange de morve et de sucs gastriques.
Le coup brisa le bec du corbeau dans l'angle net du sens du large interstice entre l'œil et la
narine gauche. L'oiseau chancela sur un ergot aux pieds du petit elfe et se mit à s'égosiller sans retenue jusqu'à ce que le sol tremble sous ses chausses trouées : le tonnerre claqua, déchirant la sphère de ténèbres entourant l'immense lac qui se troubla. Étonnamment, l'eau demeura lisse pendant que l'air terrassait les branches torturées des saules ondulant dans l'ouragan qui sévissait alentour. Subitement, la chose rugit comme si la foudre allait fendre son cœur en millions de copeaux tranchants et chargea comme un boulet de canon vers le jeune elfe qui n'osa plus faire un geste de peur de provoquer innocemment une catastrophe irréparable. Alors, dans un élan, il pulvérisa complètement le manche tordu du couteau de cristal qui vola en éclats disséminant des bris de quartz partout autour du lac gelé qui frémit jusqu'à l'horizon. Alors, dans la pénombre, il se recroquevilla sur lui-même et se passa une main sur le ventre, tâtant sa ceinture pour vérifier que le couteau coulissait toujours dans son fourreau. Alors, il le dégaina prestement et discrètement s'approcha du monstre et sauta sur lui d'un gracieux mouvement. D'un rapide coup, il égorgea sans un bruit, répandant une pluie de rubis tout autour d'eux, l'horrible bête hurlante convulsa, gargouillant comme si rien ne l'empêchait de râler. Le peu

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Le coup brisa le bec du corbeau dans l'angle net du sens du large interstice entre l'œil et la
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Le corbeau regardait avidement ce minuscule être qui ne ressemblait aucunement à celui qu'il épiait de son perchoir préféré quelques heures auparavant. Son bec s'ouvrit avec avidité, anticipant un massacre délectable. L'elfe n'avait aucune arme à portée et s'apprêtait à battre courageusement la bête hideuse. Il s'avança prudemment vers l'intrus, plissant légèrement les yeux pour évaluer la distance qui le séparait de la détestable créature. Ses doigts se crispèrent comme de solides serres, et il chargea en poussant ses cris guerriers qui résonnèrent jusque Tenebra. Un jour, Yorek avait réussi à fracasser violemment la tête d'un énorme et à déchirer sa lèvre supérieure d'un coup de coude. Il balança brusquement un coup de poing dans cette direction puis sauta sur l'horrible nez de ce gros monstre qui bavait un répugnant mélange de morve et de sucs gastriques.
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